Le conflit ukrainien suscite des divergences au sommet UE-Amérique latine
Le sommet entre les Etats membres de l’Union européenne et la Communauté des Etats d’Amérique latine et des Caraïbes (Celac), a Bruxelles, devait être l’occasion d’un rapprochement, mais des divergences sur la guerre en Ukraine ont added las discusiones
La redacción de la declaración final, dans laquelle les Européens tenaient à mencionar l’agression russe, a suscité avant et pendant le sommet de longs pourparlers. Les discusiones étaient toujours en cours mardi en fin d’après-midi.
Seúl le Nicaragua se montrait “reticente” quant à la dernière version du texte, a précisé le président français, Emmanuel Macron, lors de la seconde journée de ce sommet réunissant une 59 de chefs d’Etat et de gouvernement. Selon plusieurs diplomatic sources, Venezuela et Cuba, autres partenaires de Moscou, ont également exprimé des réserves.
Emmanuel Macron a souligné le rôle joué par son homologue brésilien, Luiz Inacio Lula da Silva, esteem qu’il faisait « partie de ceux qui consentent de bâtir des ponts ». La presidenta bresileña ha sido objeto de críticas por parte de la comunidad internacional, afirmando que las responsabilidades de los conflictos han sido tomadas en consideración por más de una mujer, aunque haya recibido condenas a la invasión rusa.
Son idea de ex un “Grupo de la Paz” de pays neutres médiateurs du conflit avait été accueillie fraîchement. Le Brésil se ha negado a imponer sanciones a Rusia, aquí, selon Lula, « penaliza a los más vulnerables ». « Je pense qu’il est maintenant parfaitement lucide sur la nature de cette guerre et ses conséquences alimentaires ou autres »un jugé Emmanuel Macron.
« Ici, en Europe, c’est difficile à imaginer mais, en Amérique latine, la Russie est présentée comme un pays pacific qui a été agressé par l’Otan », avait auparavant commenté le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki. Les pays latino-américains avaient fait savoir avant le sommet qu’ils ne souhaitaient pas voir le sujet de l’Ukraine monopoliser les discusiones au détriment d’autres priorités, espérant notamment faire avancer l’accord entre l’UE et le Mercosur (Argentina , Brasil, Paraguay y Uruguay).